Un super blog : Le coût des énergies renouvelables (suite)

Un remarquable blog du Monde avec deux articles du 22 février 2018 et19 avril 2018 de Sylvestre Huet qui commentent de façon simple et lisible « la fraude des mots » et « le rapport de la Cour des Comptes » précédemment publié sur notre site.

– « Politique climatique : erreur française et fraude des mots » :Plus l’Etat français dépense l’argent public pour diminuer les émissions de gaz à effet de serre, et plus elles augmentent. Un proverbe des Shadoks ? Non, le constat tout à fait officiel et détaillé fait par le ministère dirigé par Nicolas Hulot. La France prend en effet très au sérieux son rôle dans l’action mondiale pour atténuer la menace climatique future. Elle a donc mis au point une Stratégie nationale bas carbone. Laquelle détaille année après année et secteur par secteur les objectifs de diminution des émissions jusqu’à parvenir à -75% en 2050 relativement à 1990. Le fameux « facteur 4 », puisque cela correspond à une division par quatre de ces émissions. Une opération nécessaire si la France veut apporter sa quote-part à l’objectif mondial d’une atténuation de la menace climatique afin de la limiter à une élévation de la température moyenne de la planète de 2°C maximum relativement à la fin du 19ème siècle.

Cette Stratégie ne se contente pas de chiffrer les objectifs, elle liste aussi les moyens mis en oeuvre pour y parvenir : subventions, décisions structurantes, intégration des objectifs climatiques dans l’ensemble des politiques publiques… Tout cela fait très sérieux. Surtout lorsque l’examen du premier bilan dressé par le suivi de cette stratégie démontre son erreur manifeste lorsque l’on examine l’adéquation entre objectifs et moyens, le B et A BA d’une bonne stratégie.

Des émissions qui augmentent en 2016 …

Lire la suite de l’article :

l’analyse d’un post du blog intitulé « Politique climatique : erreur française et fraude des mots » du 22 février 2018

« Ils sont en train de se rendre compte que les énergies renouvelables sont hors de prix ; ces coûts exorbitants correspondent donc à une pollution de l’air et des sols très significative (donc des morts prématurés : combien? on ne le saura jamais), pour un rendement encore hypothétique ».
Deux liens à savourer sans modération…

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *